Dimanche 7 avril 2013
Dimanche de Bataille au club, une affluence record puisque nous étions 7, un nombre impair hélas.
Au programme AdG en 200 points et FoGN en 1200 points pour tester un peu plus cette règle.
Donc table AdG 1, Gus notre maître vénéré:
Qui était opposé à Eric. Deux parties animées ou les partenaires ce sont livrés sans retenue....
Ci dessous une vue en cours de bataille, les allemands médiévaux à gauche, aux prises avec les Huns.
Table AdG 2, Stéphane (avec sa horde):
Enfin la baston FoGN avec Groslau, mi homme mi pinceau, et moi-même sous l'oiel averti de Paul:
Le champs de bataille était assez classique le Français était attaquant et le Prussien défenseur.
Dans le placement initial les cavaleries se font face sur l'aile gauche de manière assez classique. Je décide de faire donner deux divisions d'infanterie sur la droite dont une sur le village et de garder la troisième en flanc garde gauche pour parer une éventuelle déroute de ma cavalerie qui est surclassée par la cavalerie lourde française composée de cuirassiers.
Vu de la table et de la position prussienne.
En face la position française.
Une bonne surprise sur l'aile gauche ou mes dragons Large profitent d'un manque de CP du Français et attaquent les cuirassiers en profitant de leur ordre dispersé.
Sur l'aile droite le Français déploie une unité en tirailleur en avant et progresse vers les champs. La règle applicable aus tirailleurs mérite d'être apporfondie pour bien voir et comprendre leur utilité qui une fois que nous nous sommes mieux penchés sur la règle doit être retestée; en effet l'obligation d'esquiver les cantonne au harcèlement des troupes formées (ce qui est assez logique) et on doit effectivement les utiliser comme celà tirer reculer....
L'assaut sur le village est un échec cuisant et le manque de synchronisation si paie cher, seuls les fusiliers partent à l'assaut, la landwher préférant ne pas prendre part au spectacle.
Au final une partie agréable qui nous permet de toujours découvrir les possibilités de cette règle qui encore une fois mérite toute notre attention.